La grande réussite de ce G 7 à Biarritz fut que Vladimir Poutine ne vint pas

piquer une tête dans la mer si proche.

Autrefois, les machines à écrire crépitaient dans toutes les langues ;

Aujourd’hui, ce sont les téléphones qui se mirent à mitrailler tous seuls.

Tout le reste n’est que superflu et embouteillages.

Cependant, une idée va faire son chemin, et c’est l’écologie qui sera aux commandes. 

Spécial Biarritz…Spécial Biarritz..Spécial Biarritz…Spécial Biarritz….

 

Eco-taxe sur les armes militaires et civiles.

 

Le principe de précaution exige que les armes militaires et civiles

soient de parfaite qualité et participent à chaque blessure ou mort

sans faire l'objet d'aucune critique. Le corps médical travaillera dans

des conditions plus humaines et fera des économies sur le lavage et la

stérilisation du linge.

L'éco-taxe ainsi récupérée, permettra également de recycler les grenades

ou bombes anti-personnelles pour un service après-vente réglementaire.

 Sont également concernés, les Porte-avions, les frégates, les chars, les missiles.

C'est ainsi que les Américains ont de l'avance sur l'Europe, car ils ont déjà

inauguré la guerre "humanitaire" en Irak, qui entre tout à fait dans l'esprit du monde

moderne et du 3° millénaire. Une guerre propre sera plus agréable à regarder à la TV.

Une pastille autocollante, de couleur orange, avec code barre, sera fixée sur chaque arme,

bombe et mine anti-personnelle afin d'effectuer un retour correct à l'envoyeur.

Toute arme sans pastille sera refusée et les blessures ou morts, seront considérés

comme nuls et non avenus.

.Cette éco-taxe entrant en vigueur le 1^er janvier 2020 a reçu l'agrément de l'ONU et du G7.

Félicitons-nous de cette œuvre écologique qui nous faisait défaut.

 

Un seul uniforme d’une seule couleur pour chaque soldat.

Ainsi, avant de frapper, il sera  convenu de demander ; « T’es qui » ? au lieu du banal « T’es où » ?

Un seul uniforme ouvrira la porte au cantique des cantiques ;

« Militaires de tous pays, unissez-vous » !

           

 

Cà déconne à plein tube de l’autre côté de la Manche !* 

*Citation parue dans « le Télégramme » du mercredi 13 mars 2019. 

Oui, çà déconne à plein tube mais de quel côté de la Manche ?

Imagineriez-vous un Directeur de la rédaction d’un quotidien Français,

de surcroît Breton qui oserait utiliser ce langage vulgaire « de l’autre côté de la Manche » ?

Cà déconnerait sec dans le Landerneau des lecteurs si policés,

 prêts à réveiller le dragon de l’Elorn.

Ce côté cité avance masqué prêt à surgir de tous les côtés.

Si « çà déconne à plein tube », recherchez dans le point de côté, là où çà fait mal.

Si vous pensez au côté gauche, vous pourriez avoir une perfide pensée

pour la perfide Albion  qui n’arrête pas de circuler dans cet étrange côté.

Pensez que même leurs tasses à thé ont leur ance du côté gauche.

Comptez alors le nombre de sous-marins nucléaires de chaque côté de la Manche

et vous aurez compris quel côté penchera la balance.

Vous perdriez vite le côté gauche du Tunnel sous la Manche.

De tous les côtés, nous crions notre indignation et réclamons correcteurs et relecteurs

afin que tous les Directeurs de rédaction ne passent pas trop vite de l’autre côté de la Manche

ni même à côté de la plaque tectonique

Nos Anglais cousins méritent mieux

Ils pourraient voir le petit côté des choses et transformer le Brexit en Breizhit.

Nous ne prendrions pas la manipulation du bon côté.

Ne déconnons plus, même à plein tube, des deux côtés de la Manche, les grenouilles dormiront en paix

 

"Un beurre demi-sel un peu moins salé"

(Le Télégramme du mercredi 24 février 2016.)

Tout fout le camp !

L’annonce fit l’effet d’une bombe atomique !

Que se passe-t-il dans notre bonne Bretagne sinon le signe annonciateur de la Fin du Monde ?

Serait-ce un Sous-marin nucléaire de la Rade de Brest qui tonne le soir au fond des bois ?

Serait-ce un uluberlu de la perfide Albion voulant croquer la meilleure terre qui soit ?

Non, que nenni !

Pensez que des Bretons veulent faire souffrir de mille maux tous les autres bretons !

Notre beurre salé ne serait plus salé mais serait avec la moitié de la moitié de sel  !

Autant supprimer le beurre. Mais où mettre le sel s’il n’y a plus de beurre ?

C’est le règne des korrigans contre les lutins, des forces obscures de la nuit contre celles du matin.

De bien salé par la main de la crémière, nous avions passé un pacte courageux :

notre beurre salé pourrait devenir « demi-sel » sans dommage collatéral dans les campagnes.

On voudrait nous faire croire que la demie de la demie serait aussi bien que l’entier de deux demie !

Ce serait comme aller chez la crémière et ne pas recevoir le sourire de la fille de la crémière !

Impensable !

Que faire du fil à couper le beurre qui va moins bien marcher ?

Où sont nos mottes de beurre, remplacées par ces faméliques petits carrés individuels et portatifs.

Et le pâté Hénaff, que deviendra-t-il sans le beurre salé ?

 

Certains esprits forts bien constitués nous indiquent que l’attaque pourrait venir de Normandie,

désireuse de développer leur magma jaune style « margarine » frelatée.

Ils seraient appuyés en sous-main par des Français soucieux d’envahir la Bretagne.

Le plan, découvert dans les poubelles de l’Histoire, indique que, pour affaiblir les Bretons,

le sel doit disparaître de leur horizon :

-la Rade de Brest sera désalinisée, puis les océans, de peur que les touristes ne boivent la tasse. L’élevage des huîtres se fera dans les baignoires.

Nos marins seront tenus à passer leur diplôme de « marin d’eau douce ».

Le Capitaine Haddock ne s’en remettra pas.

 

 Chers amis, voyez combien notre 3^ème millénaire est cruel :

Du beurre au semblant de sel,

Le saucisson « pur porc » qui n’est pas « pur porc »,

Le « Bœuf » qui est de la « Vache »,

Les Pétoncles qui veulent s’appeler « Coquilles St Jacques »,

Les « Haricots-verts » qui ne savent plus s’ils sont fins, très fins, extra-fins, ultra-fins,

Faudra-t-il confectionner du Kouign-amann avec de la margarine ?

Sûr que nous ne mettrons plus de beurre dans les épinards.

 

La seule information satisfaisante de la journée a été de découvrir que cette idée scélérate

ne sera mise en route que le 1^er avril 2016.

Nous avons le temps de la boycotter ou alors de changer de gouvernement.

                                                          

Tout fout le camp !

C’était mieux avant !

Ce vaste programme a quelque peu découragé le Général de Gaulle mais refait surface de temps à autres. Sont-ils aussi nombreux que l'on dit ? Combien cela rapportera-t-il ? Mais comment s'y prendre quand un petit oiseau essaye d'attraper de gros poissons ? C'est décidé, l'heure n'est plus aux hésitations, la situation est grave et les caisses vides. Nous taxerons donc tous les petits cons, les grands cons et les moyens cons.. L'ordinateur sera indispensable pour tenir une comptabilité parfaite car les cons sont toujours en mouvement. La chasse aux cons est ouverte et la délation souhaitée pour le bien de la Nation. Chaque con dans sa catégorie aura le droit à un abattement de 10%, s'il se présente spontanément et recevra son diplôme de citoyen contributeur républicain des mains de Monsieur le Maire. Chaque grand con se verra taxé le double d'un petit con, ce qui est bien normal, tandis que le moyen con verra sa taxe évaluée sur le prix du baril de pétrole, denrée aussi nécessaire que les cons. Notre richesse nationale ayant de tout temps été accaparée par les cons, il est bien normal que nous puissions récupérer notre investissement, intérêt et capital. Nous allons donc récolter les fruits de notre investissement, fruits entretenus amoureusement pour la grande gloire de l'Humanité Française. Pensez un instant à leur vitesse de multiplication ! Evidemment, évidemment, il ne suffit pas de crier : "taxe sur les cons" comme un cabri, sinon CVPM. (Cà ne va Pas Marcher). Nos troupes les plus illustres sont bien LGSDC : "Les Gens Sont Des Cons". Ce sont elles qui seront désignées pour traquer le moindre petit con en train de se cacher en moyen con. Il faut savoir que tout petit con a vocation à devenir grand con mais que l'ivresse des sommets le fait prendre ipso facto le toboggan de la vie du petit con. Le moyen con est un ludion. Cette course incessante, marche après marche, puis la glissade vertigineuse nous minent l'esprit. Avec l'expérience, les petits cons et les grands cons peuvent se contourner si le talent est là. Nous pourrons financer ainsi toutes les promesses électorales programmées pour 2007 et même, financer une très grande partie de toutes celles des décennies précédentes. Notre Président ne sera plus jamais humilié par la Commission de Bruxelles sur les dépassements budgétaires et deviendra ipso facto Président de toute l'Europe. Un grand prestige ! "On a toujours besoin de petits cons chez soi". Chers amis, je compte sur vous pour repérer chaque con dans chaque coin. Notre XXIè siècle sera con ou ne sera pas.

Les élections régionales chamboulent tout. Il est vrai aussi que de "Charlie", nous sommes passés "Charlot". Quelle année ! Veuillez trouver une chronique suite à un article paru dans le Télégramme de Brest du mercredi 12 décembre 2015. Messieurs les journalistes, Par le truchement d’Internet, vous nous proposez de découvrir le nouveau service nommé « Dataspot ». Fort intéressant car des dossiers bien documentés nous éloignent du tournoi de fléchettes à Plougastel-Dallas. Stupéfaction toutefois lorsque vous titrez un dossier du mercredi 12 décembre 2015 : « Deux fois plus d’élèves dans le privé en Bretagne qu’en France ». Qu’est-ce que cela veut dire ? Ou avez-vous trouvé ce mot de « Bretagne » qui n’existe plus depuis 1532 ? Regardez bien dans vos archives. Ce nom de « Bretagne » fut mis au goût du jour par nos offices de tourisme auprès de journalistes parisiens qui utilisaient trop souvent l’expression : « A Paris et en Province ». Depuis, « Bretagne » fait partie de nos contes et légendes, en bonne place. Voulant se racheter, ils écrivent volontiers : « A Paris et en France ». Il nous arrive de les entendre parler d’ Ile de France. Seule région accaparant ce nom de France dédié à tous. . Sont-ils « Ile de Français et Ile de Françaises » ? Si, d’aventure, vous apprenez que la Bretagne existe bien par elle-même, soyez aimables de bien vouloir nous le faire savoir sans délai. Ce jour là, nous pourrons dire ! « La Bretagne est à l’Ouest et la France sur la page d’à côté ». Votre article prendra ainsi toute sa force. Cordialement. Effectifs scolaires. Deux fois plus d'élèves dans le privé en Bretagne qu'en France 2 décembre 2015 à 09h26 L'augmentation des effectifs dans l'enseignement privé a-t-elle pour cause le faible nombre de ses écoles passées à la semaine de quatre jours et demi ? Les responsables diocésains ne semblent pas croire à cette explication. Ils minimisent en tout cas le phénomène, il est vrai, difficile à vérifier [Analyse]. La tendance est lourde : la part des élèves inscrits dans des établissements privés dans la région est plus de deux fois supérieure à la moyenne nationale qui dépasse à peine les 16 %.